Il y a eu le salon du livre de Montreuil, la lecture publique du début de “Une seule voix”, écrit avec Thomas Scotto… Et les compliments de Guillaume Guéraud suite à cette lecture. Des compliments inattendus, qui font chaud au coeur… Et puis les petits mots des uns et des autres…
Bref, un beau moment, émouvant et fort.
Depuis ?
J’ai terminé une traduction qui va sortir en mars prochain et dont je vous reparlerai très prochainement.
De nouveaux projets d’écriture à quatre mains ont vu le jour…
J’ai également un petit texte pour enfants qui semble intéresser un éditeur (même s’il n’y a rien de fait, encore).
Et, surtout, il y a eu l’écriture d’un autre livre, né d’une manière étonnante, même pour moi. J’y pensais depuis quelque temps, mais je l’ai écrit brusquement, d’une seule traite… Une espèce de marathon d’écriture… 12 heures d’affilée sans relever la tête…
Je l’ai retravaillé ensuite, mais pas tant que ça… On verra ce que ça va donner. Et surtout ce que l’éditeur à qui je l’ai envoyé va en penser.
Mais j’ai de la tendresse pour ce court texte pour ados qui a jailli de moi, presque à mon insu.
Je l’ai déjà dit sur ce blog. Ecrire, pour un écrivain, n’est parfois pas si évident que ça. J’ai passé des mois avec au fond de moi trop de doutes, trop de questionnements. Et une peur grandissante de ne plus avoir, tout bêtement, envie d’écrire.
Voir cette envie renaître est assez magique… Puisse-t-elle porter ses fruits !