J’ai découvert l’émission ce matin. La surprise du matin ! Que France Inter parle de mes “Têtes hautes” dans son “5/7”.Dans une chronique de 4 minutes. Mise en scène, avec des extraits, des bruitages… Tout ce que j’aime dans la radio. Cet imaginaire que l’on peut déclencher chez celle ou celui qui écoute… Et puis… les mots d’Hannah de Chantelivre sur le livre. Et mon émotion. Alors… Je partage ici le Podcast. Merci, merci à Chantelivre, à Radio France, Merci à Talents Hauts Éditions d’avoir publié ce roman. Et à toutes celles et ceux qui l’ont déjà lu, pour leurs jolis retours.
C’est ce 26 mai 2023 que sort mon nouveau roman ado/adulte “Têtes hautes”, aux éditions Talents hauts, dans la belle collection “Les héroïques” (dans laquelle j’avais déjà publié “D’un trait de fusain”.
Une histoire imaginée en 2015… écrit entre 2019 et 2022… C’est un long chemin d’écriture, avec tant de bonheur et de doutes, de recherches, de perditions, de plaisir, de découvertes… Avec une équipe éditoriale au top chez Talents hauts… Et des ami.es au top qui ont toujours été là à mes côtés, quand les doutes étaient trop fort… Et le voilà en librairie !!
J’espère que vous aimerez suivre la jeune Yarig, sardinière à Douarnenez, et sa soeur Angèle domestique à Paris, dans une famille qui compte aussi deux jeunes filles : Carol, bonne nageuse aux rêves d’émancipation, et Suzanne qui s’ennuie dans les fumeries d’opium… De Douarnenez à Paris, cette année 1924 sera… folle ! https://www.cathy-ytak.fr/tetes-hautes/
DIX ANS pour une maison d’édition, ça compte ! Et pour fêter l’événement, les Editions du Pourquoi pas ? ont décidé de demander à une dizaine de leurs auteurs de leur écrire une histoire. Mais pas n’importe laquelle… Reprendre un de nos personnages, le faire vieillir un peu ou beaucoup… raconter sa vie dix ans après, ou quelque chose d’approchant.
Pour ma part, j’ai eu envie de retrouver Tapio, cet “enfant du matin” (in “Vivre livre“). Même si je crois que j’aurais aimé raconter une autre histoire que celle, toujours recommencée, d’enfants qui doivent fuir leur pays en guerre… Mais voilà… Tapio, l’enfant qui passait la frontière et retrouvait, dans les livres, le goût des rires et des larmes, est devenu grand. Et c’est lui qui aujourd’hui tend la main à la fillette que la guerre a chassé de son pays… Mais il y a toujours ce plaisir d’écrire pour cette maison d’édition, et d’être entourée de tant d’autrices et d’auteurs de grand talent : Thierry Cazals, Thomas Scotto, Anne Maussion, Julia Billet, Christine Beigel, Marie Colot, Jo Hoeslandt, Marie Zimmer, Yves-Marie Clément et Nathalie Clément… Le livre est illustré par des élèves de l’école d’Art d’Epinal, sous la houlette de Frédérique Bertrand. Merci spécial à Aurelia Budin qui a illustré mon texte, et dont j’aime beaucoup le travail.
Vous pouvez le trouver en librairie, ou bien le commander chez votre libraire préféré.e.
“Un train… un train qui déraille, à toute allure dans une courbe, le long d’un mur, filmé depuis des caméras de surveillance. # trainquidéraille # finielavie. Fallait que tu sois dedans ? Fallait vraiment que tu sois dedans ? Réponds-moi, merde… !”
Nouveau texte pour la jolie collection “Court toujours” des éditions Nathan ! Et outre le plaisir de voir ce texte publié, il y a également le plaisir d’une version audio enregistrée par Gilles Abier ! (un vrai cadeau, merci !).
J’ai hâte de le partager avec vous.
“Appel en absence” Editions Nathan, collection “court toujours”. Version audio : Gilles Abier.
Que tous les jours de vos vies soient jolis, tendres, doux, paisibles, intenses, sans chagrin ni violence mais au contraire pleins d’amour, d’amitié, de partage et d’écoute… Sans oublier d’y ajouter quelques belles lectures !
Ce sont mes voeux pour vous toutes et tous, au delà des années qui passent… Prenez soin de vous.
Nous avons hâte de le présenter !! Et c’est bientôt le salon du livre de Montreuil…
Pour ma part, je n’y serai que le lundi 5 décembre. En signature aux éditions à pas de Loups (E20), pour “L’appel du large” (illustré par Laurent Corvaisier), de 11 h 30 à 13 heures. Puis avec L’Atelier du Trio sur le Stand des éditions du Pourquoi pas (E14) pour signer ensemble “De pire en pire“, de 13 h 30 à 15 heures. Et nous participerons ensuite à une table ronde autour de la lecture à voix haute, à 15 heures… avec notamment un extrait de lecture de De pire en pire. Nous vous y attendons !!!
Parce que c’est à Rémi David que l’on doit, avec Thomas Scotto de nous être arrimés sur les bords de Seine, à Duclair, pour trois semaines éparses entre novembre 2021 et janvier 2022. Nos deux noms donnés à l’équipe de Terres de Paroles, à Rouen, qui a tout mis en place. Nos deux noms pour une résidence d’écriture autour… des éducations sentimentales. Y avait-il plus subtil que Thomas comme associée pour explorer les sentiments et le désir adolescent ? ! Pendant ces jours, nous avons rencontré les collégiens du bien nommé « collège Gustave Flaubert » pour des lectures, des ateliers d’écriture, des échanges. Et, le temps restant, au chaud d’un appartement coloré… au son du bac de Duclair… à l’abri de la brume d’hiver… nous avons posé sur la table le début d’une conversation.
Elles et il sont trois dans l’histoire. Trois grands lycéens. Clara, Swan et Avril… Swan et Clara, des connaissances d’enfance. Avril, nouvellement arrivée et déjà certaine de repartir très vite. Un dialogue… Où comment le sexe est (parfois) plus simple que les sentiments. Où les éducations sentimentales arrivent (parfois) après le corps. Le texte est là, en ligne : http://terresdeparoles.com/les-deux-saisons-davril-cathy…/ Il s’appelle « Les deux saisons d’Avril ». Court. D’un temps de résidence et de l’intensité des relations. Il n’est pas pour les enfants, ni les jeunes adolescents. Plutôt pour les plus âgés. Merci Thomas pour ces nouveaux moments partagés et les traversées de nos Seines. Merci à Martin, Clémentine, Muriel de Terres de Paroles pour la confiance et la bienveillance, merci Rémi !
Après avoir écrit des livres de recettes de pains, de brioches, de compotes, de yaourts et autres fromages frais… Voilà donc mon nouveau livre de recettes ! « Le B.A.bas des boissons végétales, ou 75 recettes ultra-faciles pour une alternative au lait ».
Cela fait très longtemps que je fais mon lait… pardon, mes «boissons végétales » (petit aparté : le lait est, dixit le dictionnaire, un « liquide blanc, opaque, très nutritif sécrété par les glandes mammaires des femelles des mammifères ». De ce fait… parler de « lait végétaux » n’est pas correct… et la législation impose maintenant d’utiliser l’expression « boissons végétales » ;-)). J’avais envie depuis longtemps d’en faire un livre. Pas seulement pour expliquer comment faire ses boissons végétales à partir d’amandes, de flocons d’avoine, de pistaches, etc., mais aussi pour donner des recettes que l’on peut faire à partir de ces super boissons, et surtout comment utiliser la pulpe qui reste après mixage et filtrage (et qu’on appelle « okara »)… Alors lorsque les éditions Marabout (avec qui je travaille depuis plus de quinze ans) se sont montrées intéressées par ma proposition… je me suis mise au travail. Maintenant, je peux vous le dire : ce livre m’a occupée une bonne partie de cette année 2021, et mon dernier confinement a été très… gourmand !!! (enfin… presque toujours gourmand… parce j’ai fait beaucoup, beaucoup de tests et d’essais, dont certains ont été résolument ratés… (soit beau mais pas bon, soit bon mais pas beau, soit ni beau ni bon !!! ). Mais voilà… le livre arrive ! Et dans cette nouvelle aventure, j’ai été très bien entourée. Sabrina Fauda-Rôle, styliste culinaire, a refait toutes mes recettes et les a mis en scène pour qu’elles soient magnifiquement photographiées par Rebecca Genet, Aurélie Legay a suivi tout le processus éditorial avec Audrey Genin. Et Christine Martin m’a fait confiance sur ce projet. Merci à elles, vraiment ! C’était super agréable de travailler avec toutes ces femmes impliquées, passionnées, attentives ! Et ce livre… je l’aime très fort. J’ai très envie de le partager avec vous, maintenant… Il sort mercredi 18 août ! A prix tout doux pour une très belle finition (7,90 euros).
Le B.A.-BA des boissons végétales. Autrice: Cathy Ytak Stylisme : Sabrina Fauda-Rôle Photographies : Rebecca Genet Editions Marabout. 7,90 euros. Sortie 18 août 2021
Lorsque j’ai écrit ce court texte qu’est « L’appel du large », en 2018, je ne savais pas ce qui allait se passer en 2020. J’ai écrit ce court texte/poème parce qu’un de mes amis était en Afrique, et que je m’interrogeais sur le fait de voyager, de partir si loin à la rencontre de l’Autre, de traverser cette mer Méditerranée dans laquelle on se baigne en été et dans laquelle on se noie en toute saison en essayant de rallier une terre promise. De mes interrogations est né “L’appel du large”. Ce qui nous appelle, ceux et celles qui nous appellent…Je ne savais pas alors que “L’appel du large” serait porté un jour par les dessins magnifiques de Laurent Corvaisier, et par les éditions A pas de loups… (encore merci !). Je ne savais pas que “L’appel du large” ne sortirait pas en mars 2020 comme prévu, pour cause de premier confinement… Je ne savais pas qu’il sortirait finalement un 2 avril 2021, à la veille d’un nouveau confinement national où notre périmètre de voyage autorisé n’excède pas 10 kilomètres autour de chez soi… Aujourd’hui, cet appel du large résonne autrement. Il sort en librairie… Et les librairies sont ouvertes. Et partout on appelle, on rit et on pleure… Nos cœurs se serrent…… et on attend le printemps…
“L’appel du large”. Texte: Cathy Ytak Illustrations: Laurent Corvaisier. Editions: A pas de loups. Sortie: avril 2021.
Je suis très émue de recevoir cette mention spéciale, pour ce livre-là… Publié aux éditions Talents hauts.
Voilà les mots du jury du prix Vendredi à propos de Sans armure… « Porté par une écriture puissante et généreuse, ce bref roman peint la violence du sentiment amoureux avec une grande puissance émotionnelle. Cathy Ytak écrit « sans filtre », mais toujours avec sensibilité et justesse. Rien n’est convenu dans cette approche de la passion, dont l’une des héroïnes est porteuse d’un trouble du spectre autistique. À la manière d’une éducation sentimentale contemporaine, Sans Armure interroge l’amour, ses aveuglements, ses révélations. »
Et ce qu’en dit Michel Abescat, dans Télérama “Comme chaque année, le jury a également attribué deux mentions spéciales, cette fois à des auteurs confirmés dont l’oeuvre figure parmi les plus intéressantes du moment. Cathy Ytak, dont le fameux “D’un trait de fusain” a été unanimement salué, est distinguée pour “Sans armure”, paru chez Talents Hauts. Un roman qui dit, avec une rare puissance émotionnelle et poétique, la relation incandescente entre deux jeunes femmes dont l’une est sujette à des joies soudaines et à de brusques effondrements.”
Bravo à Vincent Mondiot qui reçoit le Prix Vendredi, et à Eric Pessan, également mention spéciale.